Je pense que rien qu'à ce titre, vous vous doutez de quoi je vais parler. Si ce n'est pas le cas, voila un petit rappel.
En fait, j'étais partie pour ne pas commenter ces faits, vu qu'une bonne partie de mon entourage l'avait fait avant moi. Mais finalement en voyant certains mails qui sont passés sur une des listes de diffusion de mon université, j'ai eu un peu envie de réagir. Ce que je vais dire n'est pas nouveau mais après tout, la liberté d'expression existe pour qu'on l'utilise.
En tant qu'individu, j'ai été profondément choquée par ces actes, comme à chaque nouveau "spectacle" de violence. En tant qu'auteure et bloggueuse, j'ai été encore plus révoltée parce qu'on a tenté de piétiner la liberté d'expression. Comme disait Agnès Marot il y a quelques temps, "mes armes à moi ce sont mes mots". Je n'ai jamais été aussi d'accord avec elle.
Malheureusement, cet acte est également le terreau d'amalgames que j'ai pu lire ou entendre cet après midi (même si ce n'était pas la généralité et certains font même quelques rappels nécéssaires). A mon humble avis, la connerie n'a ni nationalité, ni couleur, ni religion. Elle est seulement humaine.
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Sur tous les dessins que j'ai vu passer cet après midi, celui de Boulet m'a particulièrement touchée |
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