mardi 30 avril 2013

[lectures] Le jeu des sabliers, J. C. Dunyach

Titre : Le jeu des sabliers

Auteur: Jean Claude Dunyach (un peu de fantasy-SF française !)

Editeur : Folio SF (y en a eu une autre je crois mais je ne suis pas sure. Celle ci est la plus récente)

Nombre de pages: 328 (dans l'édition folio SF) 

Quatrième de couverture:
De mystérieux sabliers. Une étrange prophétie. Et des cartes de tarot, qui contiendraient peut-être la clé de l'énigme... Mais, au cœur d'un monde où le temps est parcouru de crevasses béantes, les ombres laissées par les anciens dieux rôdent toujours…

Alliés de circonstance, un jongleur errant, une guerrière aussi jeune que dangereuse et un bouffon étrangement savant se voient remettre, par un singulier vieillard, une carte à leur image. Devenu leur employeur et mentor, l'homme les entraîne dans un jeu mortel où tout est trompeur.

Malgré leur méfiance réciproque, exacerbée par une rivalité à fleur de mots et volontiers de lames, pourront-ils déjouer les obstacles et parvenir au bout de leur quête ?

A lire absolument si on aime:
- le mélange des genres (SF et fantasy)
- les quêtes mystérieuses


A éviter si on cherche:
- Une fin claire

Avis personnel:
Ce roman trainait dans ma PAL depuis assez longtemps jusqu'à ce que je me décide enfin à m'y mettre. Mais honnêtement, j'aurais du le faire bien avant. L'écriture de J. C. Dunyach coule parfaitement, nous décrivant son univers de science-fantasy. On se laisse emporter par les aventures de Jern, d'Aléna, de Dorian et d'Olym. Si ce dernier apparait au début comme une sorte de Gandalf, apparaissant à la recherche de personnages bien précis, il perd sa figure dogmatique au cours du roman. Tous les personnages comportent leur part d'ombre et de surprise, et ce jusqu'au bout de leur quête impossible.
Tous ces personnages sont complémentaires, même si leur place n'est pas forcément évidente au début: si Aléna (la guerrière) semble un choix évident pour une quête impossible, la place de Jern (le jongleur) est plus énigmatique mais reste pour le moins essentiel. 

Le petit plus du roman: Un simple jongleur... "Jern, qui etes les plus désarmé d'entre nous" (Olym). Et pourtant...

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire